Après la courte défaite concédée sur le terrain du FC Lorient (1-0), l’équipe va tenter de se relancer sur ses terres face aux Chamois Niortais. Pour l’infatigable Ghislain Gimbert, il faudra réaffirmer nos fondamentaux au stade François-Coty avec le soutien appuyé de nos supporters. Rendez-vous vendredi 8 février à Timizzolu (20h).
Passer à autre chose
Ghislain, quel a été le sentiment du groupe à la fin du match à Lorient ?
On sentait que l’on pouvait réaliser une performance à Lorient. L’entame de match à 11 contre 11 a été à la hauteur. Mais perdre cette rencontre est une déception car c’est un des matchs, sur les six derniers, où les conditions étaient réunies pour l’emporter. On a peut-être reculé un petit peu sur la fin de la première période, c’est là où il aurait fallu enfoncer le clou.
Qu’est-ce qu’il a manqué sur cette partie ?
Sur la physionomie de match, il faut dire que l’on n’a pas réussi à se créer d’occasions. Une ou deux seulement. On aurait dû prendre un point, c’est là où il faut qu’on gagne encore en expérience, quand il y a peu de situation au moins ramener un point. On restait sur une série positive c’est important pour la confiance donc déçus mais il faut passer à autre chose et repartir de l’avant.
Se méfier des Chamois Niortais
Vous en avez été capables en décembre, il faudra rebondir à nouveau et entamer une nouvelle série ?
Oui il faut, maintenant ce sera difficile face à Niort qui est dans une situation délicate aussi. Ils n’ont pas gagné depuis quelques matchs (depuis le 4 décembre 2018). C’est un peu notre parcours, et nous avons réussi à gagner à Orléans puis Lens.
C’est un adversaire que vous attendez avec méfiance ?
Oui, Niort a réussi à réaliser une très belle première partie de championnat en se classant 5ème à la trêve. On s’attend donc à une équipe avec de la qualité. Restons sur nos fondamentaux des derniers matchs : peu de buts encaissés et rester concentrés en se créant des occasions. On aura besoin de nos supporters à domicile. Avec eux tout est possible, cela porte énormément car en Corse il y a de la ferveur.